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En sexologie et sexothérapie, les motifs de consultation les plus fréquents peuvent varier en fonction de divers facteurs tels que les normes culturelles, les évolutions sociétales et les préoccupations individuelles. Cependant, voici une liste générale des motifs de consultation les plus courants pour les femmes, les hommes et les couples en France :
Femmes :
1. Manque de désir sexuel : La perte ou la diminution du désir sexuel, de la libido, est un motif fréquent de consultation.
2. Anorgasmie : Difficulté à atteindre l'orgasme malgré une stimulation adéquate.
3. Douleur pendant les rapports sexuels (dyspareunie, vaginisme, vulvodynie, vestibulite) : Sensations douloureuses pendant les rapports sexuels, pouvant avoir des causes physiques
ou psychologiques.
4. Problèmes de lubrification : Difficulté à produire suffisamment de lubrification naturelle, ce qui peut entraîner des douleurs ou des inconforts.
5. Préoccupations concernant l'apparence corporelle : Des préoccupations liées à l'image corporelle peuvent impacter la confiance en soi et l'intimité.
6. Troubles liés à la ménopause : Les changements hormonaux associés à la ménopause peuvent affecter la fonction sexuelle.
7. Traumatismes sexuels passés : Les expériences traumatiques antérieures peuvent avoir un impact sur la sexualité.
8. Difficultés de communication : Les problèmes de communication avec le ou la partenaire peuvent influencer la satisfaction sexuelle.
9. Peurs liées à la sexualité : peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir faire, peur de lâcher-prise, peur d’assumer ses
propres désirs, ses propres besoins ou fantasmes sexuelles, par peur d’être incomprise, jugée ou rejetée.
10. Addictions sexuelles : pulsions impérieuses irrépressibles conduisant à négliger d’autres aspects de la vie personnelle ou sociale, pouvant conduire à l’infidélité (alors que la
personne ne veut pas être infidèle). La masturbation, même quotidienne, n’est pas considérée comme une addiction si elle n’altère pas la vie personnelle et sociale.
11. Hyperexcitabilité, SEGP, excitation génitale permanente : plaisirs physiques involontaires, répétés plusieurs fois par jours et ressentis en dehors de toute excitation ou
situation sexuelle, pouvant conduire à un épuisement, une culpabilité profonde, une anxiété généralisée ou des angoisses.
Hommes :
1. Dysfonction érectile : L'incapacité à maintenir une érection suffisante pour des rapports sexuels satisfaisants.
2. Éjaculation précoce : Éjaculation qui se produit plus tôt que souhaité, entraînant une insatisfaction.
3. Manque de désir sexuel : Une diminution du désir sexuel peut également affecter les hommes.
4. Anxiété de performance : L'anxiété liée à la performance sexuelle peut entraîner des difficultés érectiles ou d'autres problèmes comme l’éjaculation prématurée ou la baisse de
libido.
5. Problèmes de confiance en soi : L'estime de soi et la confiance en ses capacités sexuelles peuvent influencer la satisfaction sexuelle.
6. Problèmes de communication : Les difficultés à exprimer ses besoins et ses préoccupations à son partenaire peuvent avoir un impact négatif sur la vie sexuelle.
7. Addictions sexuelles : pulsions impérieuses irrépressibles conduisant à négliger d’autres aspects de la vie personnelle ou sociale, pouvant conduire à l’infidélité (alors que la
personne ne veut pas être infidèle). La masturbation, même quotidienne, n’est pas considérée comme une addiction si elle n’altère pas la vie personnelle et sociale.
Couples :
1. Problèmes de communication : Les problèmes de communication au sein du couple peuvent entraîner des malentendus et des frustrations sexuelles.
2. Disparité du désir sexuel, fréquence des rapports : Lorsque les partenaires ont des niveaux de désir sexuel différents, cela peut causer des tensions.
3. Routine et ennui sexuel : La monotonie et la routine dans la vie sexuelle peuvent diminuer l'intérêt et le plaisir.
4. Infidélité : L'infidélité peut entraîner des problèmes de confiance et des difficultés dans la relation intime.
5. Changements de vie majeurs : Des événements tels que l'arrivée d'un enfant, le déménagement, un travail plus prenant, etc., peuvent influencer la vie sexuelle du couple.
6. Gestion du stress : Les tensions extérieures peuvent avoir un impact sur la vie sexuelle et relationnelle.
Il est important de noter que chaque personne et chaque couple est unique, et les motifs de consultation peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Les sexologues et sexothérapeutes
adaptent leurs approches en fonction des besoins spécifiques de leurs patients. GIBERT Akim sexothérapeute sexologue à Lyon depuis 2009, vous accueille et vous accompagne en séance individuelle ou
thérapie de couple.
La sexologie et la sexothérapie sont des domaines de la santé qui traitent des problèmes sexuels et relationnels. Les motifs de consultation les plus fréquents en sexologie sexothérapie en France sont les troubles de l’érection, l’éjaculation précoce, la baisse de la libido, les douleurs pendant les rapports sexuels, les difficultés à atteindre l’orgasme, les problèmes de communication dans le couple, les traumatismes sexuels, les troubles de l’identité sexuelle et les addictions sexuelles.
La sexualité est un aspect central de la vie humaine et les dysfonctions sexuelles peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie et la relation de couple. Si vous rencontrez des
difficultés dans votre vie sexuelle ou relationnelle, il est recommandé de consulter un professionnel qualifié tel que GIBERT Akim sexologue à Lyon, sexothérapeute à Lyon.
Les troubles sexuels peuvent être traités par différents professionnels de la santé, en fonction de la nature du problème. Si le trouble est d’origine physique, il est recommandé de consulter un
médecin généraliste, un médecin-sexologue, un urologue ou un andrologue. Le médecin généraliste est souvent la première personne à consulter, car il peut vous orienter vers le spécialiste
approprié.
Si le trouble est d’origine psychologique, il est recommandé de consulter un psychologue-sexologue ou psychothérapeute-sexologue ou un sexothérapeute. Le sexologue ou un sexothérapeute est un
thérapeute spécialisé dans les troubles de la sexualité et du comportement amoureux.
Cependant, même si le trouble est à priori physique (vaginisme ou trouble de l’érection par exemple), le médecin pourra orienter par la suite le ou la patiente vers un sexologue sexothérapeute non
médecin pour travailler les aspects et les causes psychiques du trouble.
Il est important de noter que les médecins généralistes et les spécialistes peuvent avoir une base de connaissances sexologiques suffisante pour traiter certains problèmes sexuels. Cependant, si le
besoin s’en fait sentir, ils peuvent également vous orienter vers un sexologue non médecin, un sexothérapeute ou un psychothérapeute.
La masturbation est une pratique sexuelle courante et normale. Elle peut être considérée comme une pathologie sexuelle ou une addiction si elle devient excessive, entraîne des problèmes de santé ou interfère avec la vie quotidienne.
Quelle que soit la fréquence de la pratique masturbatoire, la masturbation est considérée comme normale si elle ne perturbe pas le fonctionnement quotidien, les responsabilités ou les relations sociales.
La différenciation entre la masturbation normale et naturelle d'une pathologie sexuelle ou d'une addiction peut être complexe et dépend de divers facteurs, y compris la fréquence, l'impact sur la vie quotidienne, la détresse émotionnelle et d'autres critères médicaux. Voici quelques critères généraux qui peuvent être pris en compte pour évaluer la masturbation par rapport à une éventuelle pathologie sexuelle ou une addiction :
Masturbation normale :
• Fréquence : La fréquence de la masturbation varie considérablement d'une personne à l'autre. En général, la masturbation est considérée comme normale si elle ne perturbe pas le
fonctionnement quotidien, les responsabilités ou les relations sociales.
• Plaisir et détente : La masturbation est souvent un moyen naturel de se procurer du plaisir et de se détendre. Elle peut contribuer à la gestion du stress et à la libération de
tensions.
• Absence de détresse : La personne ne ressent pas de détresse significative, de culpabilité excessive ou de honte intense liée à la masturbation.
• Variabilité : La personne peut varier la fréquence et les méthodes de masturbation en fonction de ses besoins et de ses préférences.
• Vie personnelle et relationnelle : La masturbation n'entrave pas la capacité de la personne à s'engager dans des activités quotidiennes, à maintenir des relations saines ni à
remplir ses obligations professionnelles ou personnelles.
Pathologie sexuelle ou addiction :
• Fréquence excessive : Lorsque la fréquence de la masturbation devient excessive au point de perturber les activités quotidiennes, les relations et les responsabilités, cela
pourrait être indicateur d'un problème.
• Impact négatif sur la vie quotidienne : Si la personne néglige des responsabilités, des activités sociales ou des obligations professionnelles en raison de la masturbation, cela
peut signaler un problème.
• Détresse émotionnelle : Si la personne ressent une détresse émotionnelle, une culpabilité intense, une honte profonde ou une incapacité à contrôler son comportement de
masturbation, cela pourrait indiquer un problème sous-jacent.
• Perte d'intérêt pour d'autres activités : Une perte d'intérêt pour d'autres activités agréables et sociales peut être un signe d'une préoccupation excessive liée à la
masturbation.
• Tolérance : Si la personne nécessite une augmentation constante de la fréquence, de l'intensité ou de la durée de la masturbation pour obtenir le même niveau de satisfaction, cela
peut être un signe de tolérance, qui est un aspect d'une éventuelle addiction. La tolérance est définie comme une réduction de l’effet d’une drogue sur le cerveau suite à une exposition antérieure.
L'effet de la dose initiale finit par diminuer et il faut une plus grande quantité de la substance pour obtenir le même résultat. Le développement de la tolérance est un des facteurs de risque
d’addiction.
Il est important de noter que le diagnostic de toute pathologie sexuelle ou d'une addiction doit être effectué par un professionnel de la santé compétent, tel qu'un sexologue, un psychologue ou un
psychiatre spécialisé dans ce domaine. Si vous avez des préoccupations au sujet de votre propre comportement de masturbation ou de celui d'une personne proche, il est recommandé de consulter un
professionnel pour obtenir une évaluation et des conseils appropriés.
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La masturbation est une pratique sexuelle courante et normale. Elle peut être utilisée en sexothérapie pour aider les personnes à mieux comprendre leur corps et leur réponse sexuelle, à réduire l’anxiété sexuelle et à améliorer la fonction sexuelle.
Le sexologue ou le sexothérapeute peut recommander la masturbation comme une technique de traitement pour les troubles de l’érection, l’éjaculation précoce, la baisse de la libido, les difficultés à
atteindre l’orgasme, les douleurs pendant les rapports sexuels et les traumatismes sexuels.
Cependant, il est important de noter que la masturbation n’est pas une solution universelle pour tous les problèmes sexuels. Le sexologue ou le sexothérapeute évaluera chaque cas individuellement et
recommandera des techniques de traitement spécifiques en fonction des besoins du patient.
En ce qui concerne les couples, la masturbation peut être utilisée comme une technique pour améliorer la communication et l’intimité dans la relation. Le sexologue ou le sexothérapeute peut
recommander aux partenaires de se masturber ensemble ou de se masturber mutuellement pour explorer leur propre corps et celui de leur partenaire.
Le sexologue sexothérapeute peut également enseigner différentes pratiques masturbatoires visant à lâcher-prise, à se recentrer et se reconnecter à ses propres ressentis, à développer et amplifier
ses propres sources de plaisirs, à l’instar de la masturbation méditative.
Les sexologues et sexothérapeutes peuvent recommander la pratique de la masturbation dans le cadre de la thérapie sexuelle pour aider à traiter certains troubles de la sexualité. Cependant, ces recommandations dépendent des besoins individuels de chaque personne ou couple, ainsi que de la nature spécifique du trouble sexuel. Voici comment la masturbation peut être conseillée pour différents troubles chez les hommes, les femmes et les couples :
Hommes :
1. Dysfonction érectile : La masturbation peut être utilisée pour aider les hommes à mieux comprendre leurs réactions sexuelles et à gérer l'anxiété de performance. Elle peut
également servir à aider à maintenir la fonction érectile en favorisant la circulation sanguine dans la région génitale.
2. Ejaculation, précoce ou prématurée : le sexologue peut enseigner au patient comment se masturber en se focalisant sur ses ressentis et en se décentrant de l’orgasme, comment
ralentir, comment arrêter un moment puis à reprendre différemment la pratique masturbatoire, de façon à défaire le lien entre plaisir et éjaculation, avant d’exporter ce nouveau savoir-faire ou
comportement dans la relation sexuelle de couple.
Femmes :
1. Anorgasmie : La masturbation peut être recommandée pour aider les femmes à explorer leur propre corps et à comprendre ce qui les stimule sexuellement, ce qui peut contribuer à
surmonter l'anorgasmie.
2. Manque de désir sexuel : La masturbation peut être encouragée pour aider les femmes à redécouvrir leur propre désir et à se reconnecter avec leur sensualité.
3. Apprentissage : la masturbation permet d’apprendre comment développer le plaisir en soi, pour ensuite enseigner à son ou sa partenaire comment nous satisfaire (comment nous
caresser, comment nous toucher, où, à quel moment, etc.).
Couples :
1. Communication et intimité : La masturbation mutuelle peut être utilisée comme un moyen d'exploration intime entre les partenaires. Cela peut aider à améliorer la communication
sexuelle et à renforcer les liens émotionnels.
2. Disparité du désir sexuel : La masturbation individuelle peut aider les partenaires à satisfaire leurs besoins sexuels personnels tout en travaillant sur les solutions pour
mieux harmoniser leurs désirs.
3. Routine sexuelle : La masturbation peut être encouragée pour introduire de la nouveauté et de l'exploration dans la vie sexuelle du couple.
Dans tous ces cas, la masturbation est souvent utilisée comme un outil pour encourager l'exploration personnelle et la compréhension de ses propres réponses sexuelles. Elle peut aider à réduire
l'anxiété, à renforcer la confiance en soi et à améliorer la communication sexuelle entre les partenaires. Cependant, il est important de noter que les recommandations spécifiques varient en fonction
des besoins individuels et de la dynamique du couple. Les sexologues et sexothérapeutes évaluent chaque situation de manière personnalisée pour fournir des conseils et des directives adaptés à chaque
cas.
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