Sexothérapie & sexologie avec votre sexologue à Lyon pour vaginisme, vestibulite, vulvodynie, douleurs pendant les rapports sexuels, endométriose. 

Diagnostic, définitions, traitements, thérapies et solutions dans mon cabinet de sexologie à Lyon 3.

Sexothérapie individuelle ou sexothérapie de couple à Lyon 3. Consultation sur Rendez-vous au 0642207719 ou psycho69003@hotmail.com.

Le vaginisme, la vestibulite vulvaire et la vulvodynie font partie des dyspareunies ou douleurs sexuelles.

Les dyspareunies sont des douleurs ressenties pendant ou après les rapports sexuels. Il existe différents types de dyspareunies selon la localisation et le moment de la douleur :

- La dyspareunie superficielle se caractérise par une douleur à l’entrée du vagin au début de la pénétration. Elle peut être due à une sécheresse vaginale, une infection, une inflammation, une lésion ou une malformation de la vulve ou du vagin.

- La dyspareunie profonde se manifeste par une douleur au niveau du col de l’utérus ou du bas-ventre, qui survient lors d’une pénétration profonde. Elle peut être causée par une endométriose, des kystes ovariens, des fibromes utérins, une malposition utérine ou une infection pelvienne.

- La dyspareunie primaire est présente dès les premiers rapports sexuels et peut être liée à un vaginisme, c’est-à-dire une contraction involontaire et douloureuse des muscles du périnée qui empêche la pénétration. Le vaginisme peut avoir une origine psychologique (peur, anxiété, traumatisme) ou physique (malformation, infection).

- La dyspareunie secondaire apparaît après une période de rapports sexuels non douloureux et peut être due à un changement hormonal (ménopause, grossesse, contraception), à une infection, à un traumatisme ou à un problème relationnel.

Le traitement des dyspareunies dépend de leur cause et peut être médical, psychologique ou basé sur l’hypnose.

- Le traitement médical consiste à prescrire des médicaments adaptés à la cause de la douleur, comme des antibiotiques, des antifongiques, des antiviraux, des anti-inflammatoires ou des hormones. Il peut aussi s’agir de réaliser une intervention chirurgicale pour corriger une anomalie anatomique ou retirer une tumeur.

- Le traitement psychologique vise à identifier et à résoudre les facteurs émotionnels ou relationnels qui peuvent provoquer ou entretenir la douleur. Il peut s’agir d’une psychothérapie individuelle ou de couple, d’une sexothérapie ou d’une thérapie cognitivo-comportementale.

- Le traitement par l’hypnose consiste à utiliser un état de conscience modifié pour accéder à l’Inconscient et modifier les croyances, les émotions et les comportements liés à la douleur. L’hypnose peut aider à réduire le stress, à augmenter la confiance en soi, à favoriser la relaxation, à lever le blocage et à renforcer le plaisir sexuel.

- Les Traitements par les médecines douces et sexothérapies corporelles ou thérapies sexocorporelles.

Si vous souffrez de dyspareunies, n’hésitez pas à consulter un médecin, un gynécologue ou un sexologue à Lyon pour bénéficier d’un diagnostic et d’un traitement adaptés. La sexualité doit être source de plaisir et non de souffrance.

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Le vaginisme est un trouble sexuel féminin qui se caractérise par la contraction réflexe et involontaire des muscles du plancher pelvien qui entourent l'ouverture du vagin. Cette action provoque des douleurs et empêche de façon persistante toute pénétration vaginale désirée, y compris par un doigt ou un tampon hygiénique quand le vaginisme est total.

Le vaginisme peut être primaire (dès les premières relations sexuelles), secondaire (après une période sans problème), total (dans toutes les situations) ou partiel (dans certaines situations).

Le vaginisme peut avoir des causes physiques ou psychologiques, parmi lesquelles :

- Un abus, un viol ou une agression sexuelle ou leur tentative
- Une peur ou phobie de tomber enceinte
- Une attitude plus fermée vis-à-vis de la sexualité
- Une cause neurologique centrale
- Un accouchement
- Des troubles de l'identité sexuelle
- Une infection vaginale
- Une insuffisance de lubrification
- Les suites d'un traitement du cancer du col de l'utérus ou du rectum par radiothérapie ou curiethérapie
- Un hymen non élastique obstruant l'entrée du vagin

Le vaginisme peut avoir des effets et impacts négatifs sur la vie intime, la confiance en soi, l'estime de soi, le bien-être psychologique et la fertilité des femmes qui en souffrent. Il peut également affecter la relation de couple et la communication avec le partenaire.

Le traitement du vaginisme repose sur une prise en charge pluridisciplinaire qui associe des aspects psychologiques et médicaux. Il existe différentes solutions thérapeutiques pour soigner le vaginisme, telles que :

- La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : elle vise à modifier les pensées et les comportements négatifs liés à la sexualité et à la pénétration, à réduire l'anxiété et à renforcer l'estime de soi.
- La thérapie de couple : elle permet de travailler sur la communication, la complicité, le respect et la confiance au sein du couple, ainsi que sur les attentes et les besoins de chacun.
- La rééducation périnéale : elle consiste à apprendre à relâcher les muscles du plancher pelvien grâce à des exercices spécifiques, à des massages ou à des appareils comme les dilatateurs vaginaux ou les biofeedbacks¹.
- L'utilisation de lubrifiants : elle peut faciliter la pénétration et diminuer les douleurs en cas de sécheresse vaginale.
- La consultation d'un gynécologue : il peut dépister et traiter d'éventuelles causes physiques du vaginisme, comme une infection, une malformation ou une lésion. Il peut également prescrire des médicaments pour soulager les douleurs ou détendre les muscles.
- La consultation d’un sexothérapeute sexologue à Lyon qui vous proposera un suivi et une approche sexothérapeutique adapté à votre personnalité et au type de vaginisme dont vous souffrez.

Le vaginisme n'est pas une fatalité. Il est possible de le surmonter avec l'aide de professionnels compétents et bienveillants. Il est important de ne pas rester seule avec ce problème et d'en parler avec son partenaire ou avec une personne de confiance. Il existe également des associations et des forums qui peuvent apporter du soutien et des conseils aux femmes qui souffrent de vaginisme. GIBERT Akim, sexothérapeute sexologue à Lyon depuis 2009, est un expert reconnu dans le traitement du vaginisme.

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Voici un résumé sur les nouvelles méthodes en sexologie et sexothérapie pour aider les femmes à surmonter le vaginisme primaire ou secondaire et à retrouver une sexualité épanouie :

Le vaginisme est un trouble sexuel caractérisé par des contractions involontaires et douloureuses des muscles du plancher pelvien, ce qui rend la pénétration vaginale difficile, voire impossible. Heureusement, il existe de nouvelles méthodes et approches qui ont fait des progrès significatifs dans la compréhension et le traitement du vaginisme.

1. Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : La TCC est souvent utilisée pour traiter le vaginisme en aidant les femmes à comprendre et à gérer leurs peurs et leurs anxiétés liées à la pénétration vaginale. Les sexothérapeutes travaillent avec les patientes pour changer leurs schémas de pensée négatifs et développer des techniques de relaxation.
2. Rééducation pelvienne : Les exercices de rééducation pelvienne, tels que les exercices de Kegel, sont utiles pour renforcer les muscles du plancher pelvien. Ces exercices peuvent aider les femmes à mieux contrôler leurs muscles et à réduire les contractions involontaires. Les sexologues peuvent vous enseigner des exercices pour apprendre à relâcher le périnée.  
3. Traitement médicamenteux : Dans certains cas, des médicaments relaxants musculaires ou des crèmes anesthésiques peuvent être prescrits pour aider à réduire la douleur et les contractions musculaires pendant les rapports sexuels.
4. Sexologie et conseil : Travailler avec un sexologue ou un conseiller en santé sexuelle peut aider les femmes à explorer leur sexualité, à identifier les causes sous-jacentes du vaginisme et à trouver des moyens de se détendre et de s'épanouir sexuellement.
5. Thérapie des couples : Le vaginisme peut également avoir un impact sur la relation de couple. La thérapie des couples peut aider à améliorer la communication et à renforcer la connexion émotionnelle entre les partenaires.
6. Approches alternatives : Certaines femmes ont trouvé un soulagement grâce à des approches alternatives telles que la méditation, l'acupuncture, l'hypnothérapie ou le massage tantrique. Ces méthodes peuvent être envisagées en complément d'autres traitements.
7. L’approche originale de GIBERT Akim, qui combine thérapie sexocorporelle et hypnose pour lever rapidement le blocage psychologique relatif au vaginisme : une forme de sexologie intégrative spécifiquement développée pour lever le vaginisme. 

Il est important de noter que le traitement du vaginisme varie d'une personne à l'autre, et ce qui fonctionne pour une femme peut ne pas fonctionner pour une autre. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé tel que GIBERT Akim, sexologue sexothérapeute à Lyon, pour discuter des options de traitement disponibles et trouver la meilleure approche pour chaque femme souffrant de vaginisme primaire ou secondaire.

L'éducation sexuelle, la compréhension et le soutien sont des éléments clés pour aider les femmes à surmonter le vaginisme et à retrouver une sexualité épanouie. Avec les avancées dans la compréhension de ce trouble, de plus en plus de femmes peuvent espérer une vie sexuelle saine et épanouissante. Un sexothérapeute sexologue à Lyon tel que GIBERT Akim, spécialiste dans le traitement du vaginisme par différentes stratégies thérapeutiques dont l’hypnose, la thérapie sexocorporelle et le massage tantrique, peut vous accompagner en séance individuelle ou de couple, dans un cadre professionnel, empathique et soutenant, pour avancer à votre rythme pour vous libérer du vaginisme. 

Une méthode holistique et intégrative : l'hypnose sexothérapeutique, le massage tantrique, la thérapie psychocorporelle et la thérapie sexocorporelle, alliées pour créer une méthode thérapeutique pour lever le vaginisme en deux ou trois séances. Le corps, le mental et l’esprit travaillent et évoluent ensemble au fil des séances.

Votre sexothérapeute sexologue à Lyon a développé une méthode thérapeutique pour résoudre le vaginisme rapidement en deux à trois séances. Cette approche implique et allie 4 thérapies sexuelles.

- 1ere séance :

 
1/ Anamnèse et recueil d’informations sur la vie sexuelle présente et passée de la patiente, pour une personnalisation de la séance. 
2/ Hypnose : une combinaison de techniques d'hypnose thérapeutique pour détendre le corps et l'esprit, et d'hypnose sexothérapeutique pour se projeter et ressentir différentes sensations et émotions au cours d'une relation sexuelle imaginaire et symbolique sans vaginisme. Les schémas de pensées peuvent s’en trouver modifiés et la patiente se projette dans une relation sexuelle sans douleurs. Ainsi le cerveau et le reste du corps peuvent ancrer de manière consciente et inconsciente les sensations agréables d'un rapport sexuel avec pénétration.

- 2e séance : 

1/ Recueil d’informations sur l’évolution de la patiente entre les deux séances (modifications des schémas de pensées et des comportements liés au vaginisme et à la sexualité en général ; début de relâchement des muscles du périnée lors des rapports). 
2/ Un massage tantrique, saupoudré d'hypnose pour la relaxation globale et de rappels des ancrages hypnotiques de la première séance : Reconnexions des différentes parties du corps et connexion du corps unifié et du mental. Circulation libre de l’énergie sexuelle. Apprivoiser le toucher et l’énergie sexuelle d’une manière douce et respectueuse. Sensations agréables de détente et de sensualité en toute sécurité. A la fin du massage tantrique, le périnée est plus détendu ; la patiente prend alors conscience que la pénétration future est possible sans douleur. 

Durant deux à trois semaines après la séance, la patiente « teste » et évalue son évolution seule durant la masturbation ou dans l'intimité de son couple au cours de rapports sexuelles doux et lent de type slowsex. Durant les rapports, la patiente décide du bon moment, de la façon, de la profondeur et de la durée de la pénétration, partielle, puis, progressivement au fur et à mesure des rapports étalés dans le temps, complète. 

La troisième séance à lieu seulement si les avancées sont évaluées par la patiente comme insuffisantes.

- 3e séance :

1/ Recueil d’informations sur l’évolution de la patiente entre les deux séances (le vécu de la patiente lors de relations sexuelles et / ou de la masturbation durant les trois semaines passées).
2/ Si les avancées sont évaluées comme insuffisantes : combinaison de méthodes de thérapie psychocorporelle et de la thérapie sexocorporelle.

La thérapie psychocorporelle et de la thérapie sexocorporelle permettent de continuer d’intégrer progressivement la perception sensorielle positive du corps, de la sexualité et de la pénétration dans un environnement de sécurité. La séance se termine par un « autotest » de la patiente : pénétration digitale d’au moins deux doigts de manière douce, lente, sécurisée et sans douleur. Il est important que la patiente perçoive par elle-même la détente musculaire et qu’elle réalise elle-même la pénétration : « j’ai réussi. J’en suis capable ici. J’en serai capable dans mon couple aussi ».

- Guérison :

La patiente est considérée comme guérie si : 
   - après la deuxième séance la douleur a été significativement réduite ou absente lors des rapports sexuels (solitaire ou à deux) ;
   - au cours de la troisième séance, la pénétration digitale sans douleur est possible et les muscles du périnée suffisamment détendus. En théorie, les muscles de la patiente seront encore plus détendus dans l’intimité de son couple que lors de l’autotest en sexothérapie.

Cependant, la guérison dépend fortement de la personne et de la complexité de ses causes sous-jacentes, donc garantir une résolution en deux ou trois séances peut être difficile.

- Précisions concernant l’hypnose :

Les suggestions hypnotiques durant l’hypnose thérapeutique peuvent viser à détendre profondément la patiente et à réduire l'anxiété associée au vaginisme. Les inductions qui se concentrent sur la relaxation musculaire progressive, la visualisation guidée d'un endroit calme et sécurisant, ainsi que des suggestions de confort et de contrôle de la douleur peuvent être utiles. Ensuite, les suggestions pour renforcer la confiance en soi, favoriser une perception positive du corps et encourager une approche plus détendue et ouverte vis-à-vis de l'intimité peuvent être bénéfiques. Ces suggestions devraient être adaptées individuellement pour répondre aux besoins spécifiques de chaque patiente. C’est seulement ensuite que l’hypnose sexothérapeutique se concentre sur les aspects agréables et fluides d’un rapport sexuel imaginaire sensuels et voluptueux.
Les suggestions et inductions hypnotiques durant l’hypnose sexothérapeutiques doivent respecter les valeurs et limites de chaque patiente.

- L’erreur thérapeutique :

Quel que soit le type d’hypnothérapie, de sexothérapie ou de psychothérapie, on ne demande pas à la patiente de se détendre (demandez à une patiente souffrant de migraines d’arrêter d’avoir des migraines !!!) On l’encourage à entrer à sa façon et à son rythme dans le processus thérapeutique. A la fin de chaque séance, on l’invite à constater qu’elle est effectivement un peu plus détendue. Cela ne doit pas être un but, mais une conséquence ou un effet de la séance. Ce n’est la détente qui conduit au lâcher-prise, c’est le lâcher-prise qui mène à la détente. C’est le sentiment d’être comprise, soutenue, encouragée et accompagnée sans jugement, qui mène au lâcher-prise.

GIBERT Akim, sexothérapeute sexologue à Lyon spécialiste du traitement du vaginisme.

Comment le massage tantrique en sexothérapie peut aider les femmes atteintes du vaginisme et leur permettre de retrouver une sexualité pleine et épanouie ?

Le massage tantrique en sexothérapie peut être un outil utile pour aider les femmes atteintes de vaginisme à retrouver une sexualité pleine et épanouie, mais il est essentiel de comprendre comment il fonctionne et dans quel contexte il est utilisé. Voici comment le massage tantrique peut contribuer à cet objectif :

1. Développement de la conscience corporelle : Le massage tantrique encourage la femme à se reconnecter avec son propre corps et à développer une conscience plus profonde de ses sensations physiques. Cela peut être particulièrement bénéfique pour les femmes atteintes de vaginisme, car cela les aide à reconnaître et à comprendre leurs réponses corporelles, ce qui peut être un élément clé pour surmonter ce trouble.
2. Réduction de l'anxiété et du stress : Le massage tantrique se déroule dans un environnement sûr et bienveillant, favorisant la relaxation et la réduction de l'anxiété. Les femmes atteintes de vaginisme peuvent éprouver de l'anxiété liée à la pénétration sexuelle, et le massage tantrique peut aider à apaiser ces préoccupations en créant une atmosphère de confiance.
3. Exploration de la sensualité : Le massage tantrique encourage l'exploration de la sensualité et du plaisir sans se concentrer sur la pénétration sexuelle. Cela permet aux femmes de vivre des expériences sexuelles positives qui n'impliquent pas de douleur, ce qui peut contribuer à renforcer leur confiance et à réduire la tension autour de la sexualité.
4. Travail sur les blocages émotionnels : Le massage tantrique peut également aider les femmes à travailler sur des blocages émotionnels ou des traumatismes passés qui pourraient contribuer au vaginisme. En abordant ces problèmes de manière douce et attentionnée, le massage tantrique peut contribuer à libérer des émotions retenues et à favoriser une sexualité plus épanouie.

Le massage tantrique en sexothérapie doit être pratiqué par un sexothérapeute sexologue à Lyon qualifié et expérimenté, en collaboration avec d'autres formes de thérapie si nécessaire. Il est également essentiel de respecter les limites et le confort de la personne recevant le massage, et il ne devrait jamais être imposé.
Le vaginisme est un trouble complexe qui peut nécessiter une approche multidisciplinaire, impliquant un sexologue sexothérapeute, un gynécologue, un psychologue et, éventuellement, un kinésithérapeute pelvien. Le massage tantrique peut être un élément de cette approche globale, mais il ne devrait pas être considéré comme une solution unique pour le vaginisme.

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Le vaginisme est un trouble sexuel qui se caractérise par des contractions involontaires et douloureuses des muscles du vagin. Ces contractions rendent la pénétration vaginale impossible ou très difficile. Le vaginisme peut être causé par un certain nombre de facteurs, notamment des traumatismes sexuels, des expériences négatives liées à la sexualité, des problèmes psychologiques ou des problèmes physiques.

Le traitement du vaginisme primaire ou secondaire est généralement multidisciplinaire et comprend une approche psychothérapeutique et une approche physiothérapeutique.

L'approche psychothérapeutique vise à identifier et à traiter les causes psychologiques du vaginisme. Elle peut inclure des techniques telles que la thérapie cognitivo-comportementale, la relaxation, l'hypnose, le massage tantrique, la thérapie sexocorporelle et la psychothérapie de groupe.

L'approche physiothérapeutique vise à détendre les muscles du vagin. Elle peut inclure des exercices de relaxation musculaire, l'utilisation de dilatateurs vaginaux et la rééducation périnéale.

Le traitement du vaginisme par un médecin sexologue se déroule généralement en plusieurs étapes :
1. Entretien initial : Le médecin sexologue recueille des informations sur l'histoire médicale et sexuelle de la patiente. Il effectue également un examen physique pour éliminer toute cause physique du vaginisme.
2. Diagnostic : Le médecin sexologue établit un diagnostic de vaginisme en fonction des informations recueillies lors de l'entretien initial et de l'examen physique.
3. Plan de traitement : Le médecin sexologue propose un plan de traitement adapté aux besoins de la patiente. Ce plan peut inclure une approche psychothérapeutique et/ou une approche physiothérapeutique.
4. Suivi : Le médecin sexologue suit la patiente au cours du traitement pour s'assurer de son efficacité.

Le traitement du vaginisme est généralement efficace, mais il peut nécessiter plusieurs mois de suivi.

Les techniques psychothérapeutiques les plus couramment utilisées pour traiter le vaginisme comprennent :
• La thérapie cognitivo-comportementale vise à modifier les pensées et les comportements négatifs liés à la sexualité.
• La relaxation vise à détendre les muscles du corps, y compris les muscles du vagin.
• L'hypnose peut être utilisée pour aider la patiente à se détendre et à surmonter ses peurs, à lever le blocage pour permettre la pénétration.
• La psychothérapie de groupe peut être utile pour les femmes qui souhaitent partager leurs expériences avec d'autres femmes.

Les techniques physiothérapeutiques les plus couramment utilisées pour traiter le vaginisme comprennent :
• Les exercices de relaxation musculaire visent à détendre les muscles du vagin.
• L'utilisation de dilatateurs vaginaux permet à la patiente de s'habituer à la sensation d'un objet dans le vagin.
• La rééducation périnéale vise à renforcer les muscles du plancher pelvien, y compris les muscles du vagin.

Les dilatateurs vaginaux sont des objets de différentes tailles qui sont insérés dans le vagin pour l'élargir progressivement. Les dilatateurs vaginaux sont généralement utilisés en association avec des techniques de relaxation musculaire.

Le traitement du vaginisme est un processus progressif qui nécessite de la patience et de la motivation de la part de la patiente.

Le vaginisme est un trouble sexuel qui se caractérise par une contraction involontaire et douloureuse des muscles du vagin, rendant la pénétration difficile ou impossible. Il peut être primaire, c’est-à-dire présent dès les premières tentatives de rapport sexuel, ou secondaire, c’est-à-dire survenant après une période de sexualité normale. Le vaginisme peut avoir des causes physiques, comme une infection, une blessure ou une malformation, ou des causes psychologiques, comme un traumatisme, une peur, une culpabilité ou un manque de confiance.

Pour traiter le vaginisme, il est possible de consulter un sexologue, qui est un professionnel de la santé spécialisé dans les problèmes liés à la sexualité. Le sexologue peut proposer une sexothérapie individuelle ou de couple, selon le cas et les besoins du patient. La sexothérapie est une forme de psychothérapie qui vise à améliorer la qualité de la vie sexuelle et affective du patient.

La sexothérapie individuelle consiste à travailler sur soi-même, en explorant ses émotions, ses croyances, ses fantasmes et ses blocages. Le sexologue aide la patiente à identifier et à comprendre les causes de son vaginisme, à modifier ses schémas de pensée négatifs et à renforcer son estime de soi. Il peut aussi lui donner des exercices à faire chez soi, comme des exercices de relaxation, de respiration, de dilatation vaginale ou de stimulation clitoridienne, pour l’aider à se détendre, à se réapproprier son corps et à augmenter son plaisir.

La sexothérapie de couple consiste à travailler sur la relation entre les partenaires, en favorisant la communication, l’écoute, le respect et la complicité. Le sexologue aide le couple à exprimer ses besoins, ses envies, ses difficultés et ses attentes. Il peut aussi lui donner des exercices à faire chez soi, comme des massages, des caresses, des jeux érotiques ou des défis sexuels, pour stimuler l’imagination, la créativité et l’intimité du couple.

Il n’existe pas de règle universelle pour choisir entre une sexothérapie individuelle ou de couple pour traiter le vaginisme. Tout dépend du contexte, du vécu et des objectifs de la patiente. Certaines peuvent préférer commencer par une sexothérapie individuelle pour se sentir plus à l’aise et plus confiant avant d’impliquer leur partenaire. D’autres peuvent préférer opter directement pour une sexothérapie de couple pour bénéficier du soutien et de la complicité de leur partenaire. Il est aussi possible d’alterner entre les deux formes de sexothérapie selon les besoins et les progrès du patient.

Quelle que soit la modalité choisie, il est important de consulter un sexologue qualifié et expérimenté tel que GIBERT Akim sexothérapeute sexologue à Lyon, qui saura adapter sa méthode et ses outils aux spécificités de chaque cas. Il est aussi important de s’engager dans la démarche thérapeutique avec motivation, patience et bienveillance envers soi-même et sa ou son partenaire. Le vaginisme n’est pas une fatalité ni une honte. C’est un trouble qui peut se soigner avec l’aide d’un professionnel et le désir de retrouver une sexualité épanouie.

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La vestibulite vulvaire est une inflammation douloureuse du vestibule vulvaire, zone qui s'étend des petites lèvres à l'entrée du vagin. Cette inflammation de la vulve se manifeste par des douleurs et des brûlures lors des rapports sexuels (dyspareunie) ainsi que lors d'autres activités telles que la marche, le port de vêtements serrés, l'utilisation de tampons, etc.

Les causes et les origines de la vestibulite vulvaire ne sont pas clairement définies. Cependant, certains facteurs de risque ont été identifiés, notamment :

• Irritation infection de la zone vulvaire
• Antécédents de douleur chronique
• Antécédents de douleur lors des rapports sexuels
• Antécédents de traumatisme génital
• Troubles hormonaux
• Hypersensibilité des nerfs au niveau de la muqueuse, du nerf pudental
• Virus
• Mycoses à répétition
• Traumatisme du périnée
• Psychosomatisation

Les traitements médicaux de la vestibulite vulvaire peuvent inclure des médicaments tels que des crèmes topiques, des antidépresseurs, des anti-inflammatoires ou des anesthésiques locaux. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever les tissus affectés ou réduire la pression sur la zone vulvaire.

Les traitements sexologiques et sexothérapeutiques, tels que pratiqués par votre sexologue à Lyon, peuvent aider à traiter la dyspareunie et les problèmes sexuels associés à la vestibulite vulvaire. La patiente peut réapprendre à toucher et ressentir cette zone d’une manière plus relâcher et positive, avant de pouvoir de nouveau autoriser son ou sa partenaire à caresser cette zone. De la même façon, les exercices avec un œuf de Yoni peuvent aider à détendre cette zone et se la réapproprier. Des techniques de relaxation et de respiration peuvent également être utiles pour aider à réduire l'anxiété et la douleur.

Il est important de souligner que la vestibulite vulvaire est une condition qui peut être traitée avec succès. Les traitements varient en fonction de la gravité des symptômes et de la cause sous-jacente de la condition. Ils peuvent être multiples et complémentaires. On préconise l’utilisation de lubrifiant durant les rapports. Chose positive : la vestibulite vulvaire n'empêche pas un accouchement. Si vous suspectez que vous avez une vestibulite vulvaire, consultez un professionnel de santé pour un diagnostic et un traitement appropriés.

La vestibulite vulvaire, son origine et son traitement avec votre sexologue à Lyon : Cf. article sur la vestibulite vulvaire, trouvé par votre sexothérapeute à Lyon GIBERT Akim sexologue Lyon.

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La vestibulite, également connue sous le nom de vestibulodynie ou vulvodynie vestibulaire, est un trouble douloureux qui affecte la région du vestibule vaginal, c'est-à-dire la partie externe du vagin. Elle peut se manifester sous différentes formes, telles que la vestibulite primaire (douleur persistante depuis le début de l'activité sexuelle) ou la vestibulite secondaire (douleur apparaissant après des expériences sexuelles satisfaisantes).

La sexologie et la sexothérapie peuvent jouer un rôle important dans le traitement de la vestibulite en fournissant des approches psychologiques et physiques pour gérer la douleur et améliorer la qualité de vie sexuelle.

Voici quelques pratiques et approches qui peuvent être utilisées :

1. Éducation et Validation : Le sexologue peut fournir des informations sur la vestibulite, expliquer que c'est un trouble réel et légitime, et aider la patiente à comprendre les facteurs physiologiques et psychologiques qui peuvent contribuer à la douleur.
2. Exercices de Détente et de Relaxation : L'apprentissage de techniques de relaxation, de respiration profonde et de gestion du stress peut aider à réduire l'anxiété et la tension musculaire qui peuvent aggraver la vestibulite.
3. Exercices de Désensibilisation et de Dilatation Vaginale : De manière similaire au traitement du vaginisme, ces exercices impliquent l'introduction progressive d'objets de petite taille dans le vagin pour aider à réduire la sensibilité et à habituer les muscles à la pénétration.
4. Thérapie Cognitivo-Comportementale (TCC) : Cette approche peut aider à identifier et à changer les pensées négatives ou les croyances qui contribuent à la douleur. Elle peut également aider à développer des stratégies pour faire face à la douleur et à l'anxiété.
5. Thérapie Sexuelle - sexothérapie : Travailler avec un sexologue peut permettre à la patiente de discuter ouvertement de ses préoccupations sexuelles et de développer des stratégies pour maintenir une intimité sexuelle malgré la douleur.
6. Thérapie de Couples : Si la patiente est en couple, impliquer le partenaire dans le processus thérapeutique peut aider à renforcer la communication, à réduire la pression et à maintenir une connexion intime.

Quant à l'hypnose et au massage tantrique, ils peuvent contribuer au traitement de la vestibulite en aidant à réduire l'anxiété, à favoriser la relaxation et à renforcer la connexion entre le corps et l'esprit. Cependant, il est important de les aborder sous la supervision d'un sexologue à Lyon qualifié, surtout compte tenu de la nature délicate et complexe de la vestibulite.

Chaque personne peut répondre différemment aux différentes approches, il est donc recommandé de consulter un sexothérapeute à Lyon reconnu pour obtenir une évaluation personnalisée et un plan de traitement adapté à la vestibulite spécifique de la patiente.

Les dyspareunies, la vulvodynie et le vaginisme sont des troubles sexuels qui peuvent être traités de différentes manières, y compris par des approches de médecine asiatique et orientale. Voici un aperçu de certains des traitements et des méthodes potentiellement utilisés dans ces traditions médicales :

1. Acupuncture : L'acupuncture, une composante de la médecine traditionnelle chinoise (MTC), consiste à insérer de fines aiguilles dans des points spécifiques du corps pour rétablir l'équilibre énergétique. Elle peut être utilisée pour soulager la douleur et améliorer la circulation sanguine dans la région pelvienne, ce qui peut aider à traiter les dyspareunies et la vulvodynie.

2. Phytothérapie : La MTC utilise des herbes médicinales pour traiter une variété de problèmes de santé. Certaines plantes et herbes spécifiques peuvent être utilisées pour équilibrer les hormones, apaiser les douleurs et améliorer la santé sexuelle.

3. Massages : Les massages traditionnels, tels que le massage tui na (massage chinois), ou les massages tantriques, peuvent être utilisés pour détendre les muscles pelviens et favoriser la circulation sanguine. Cela peut contribuer à atténuer la douleur et à relâcher les tensions associées aux dyspareunies, à la vulvodynie et au vaginisme.

4. Méditation et Qi Gong : La méditation et le Qi Gong, des pratiques orientales qui combinent la respiration, la concentration mentale et des mouvements doux, peuvent aider à réduire le stress et à améliorer la conscience corporelle, ce qui peut être bénéfique pour les patients souffrant de ces troubles.

5. Alimentation et diététique : La médecine chinoise attache de l'importance à l'alimentation pour équilibrer l'énergie du corps. Un praticien peut recommander des changements diététiques spécifiques pour aider à traiter les symptômes liés à la santé sexuelle.

Il est important de noter que les approches de la médecine asiatique et orientale sont complémentaires aux traitements médicaux occidentaux et ne doivent pas remplacer la consultation d'un professionnel de la santé qualifié. Ces approches peuvent varier en fonction de la tradition médicale spécifique, de la culture et des pratiques régionales.
Il est essentiel que toute personne souffrant de dyspareunies, de vulvodynie ou de vaginisme consulte d'abord un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés. Les traitements de médecine asiatique et orientale peuvent être utilisés en complément, mais ils doivent être adaptés aux besoins individuels de la patiente.

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L'endométriose est une affection chronique dans laquelle les tissus similaires à l'endomètre, qui normalement tapissent l'intérieur de l'utérus, se développent à l'extérieur de celui-ci. Ces tissus se trouvent généralement sur les organes pelviens tels que les ovaires, les trompes de Fallope, les ligaments qui soutiennent l'utérus et la paroi du pelvis.

La détection de l'endométriose peut être complexe, car les symptômes varient d'une personne à l'autre. Les symptômes courants comprennent des douleurs pelviennes intenses, des douleurs pendant les rapports sexuels, des règles abondantes et douloureuses, des douleurs lors de la défécation ou de la miction, des saignements irréguliers et des problèmes de fertilité. Si vous présentez ces symptômes, il est important de consulter un médecin.

Le diagnostic de l'endométriose peut être posé par un médecin spécialiste, tel qu'un gynécologue, à l'aide de plusieurs méthodes. Tout d'abord, le médecin recueillera votre histoire médicale complète et effectuera un examen physique. Des examens complémentaires tels que l'échographie, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou la laparoscopie, une intervention chirurgicale mini-invasive, peuvent également être utilisés pour confirmer le diagnostic.

L'endométriose est souvent classée en stades ou en degrés de gravité, selon l'étendue de la propagation des tissus endométriosiques et la présence de lésions ou d'adhérences. La classification la plus couramment utilisée est la classification de l'endométriose de l'American Society of Reproductive Medicine (ASRM), qui comprend quatre stades, allant de léger à sévère.

Les conséquences physiques de l'endométriose peuvent être significatives. Les douleurs chroniques peuvent avoir un impact sur la qualité de vie, la fonction sexuelle et les activités quotidiennes. L'endométriose peut également entraîner des problèmes de fertilité, car les adhérences et les lésions peuvent altérer la structure des organes reproducteurs.

Sur le plan physiologique, l'endométriose est associée à une inflammation chronique, des déséquilibres hormonaux et des altérations du système immunitaire.

Sur le plan psychologique, les personnes atteintes d'endométriose peuvent faire face à des troubles de l'humeur tels que l'anxiété et la dépression, ainsi qu'à des sentiments de frustration, de stress et de désespoir liés aux douleurs chroniques et aux difficultés rencontrées pour concevoir un enfant.

Le traitement de l'endométriose peut varier en fonction de la gravité des symptômes, des souhaits de fertilité de la personne et d'autres facteurs individuels. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments pour soulager la douleur, tels que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les contraceptifs hormonaux ou les agonistes de l'hormone libérant la gonadotrophine (GnRH). Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever les lésions et les adhérences.

Il est essentiel de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé spécialisé dans l'endométriose pour élaborer un plan de traitement adapté à vos besoins individuels. De plus, le soutien émotionnel, les groupes de soutien et les thérapies complémentaires peuvent également jouer un rôle important dans la gestion de l'endométriose.

L’endométriose est une maladie gynécologique qui se caractérise par la présence anormale, dans la cavité abdominale, de fragments d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus.

L’endométriose se décèle par des symptômes tels que des douleurs abdominales et pelviennes, plus fortes au moment des règles ou lors des rapports sexuels, des troubles de la fertilité, des douleurs en urinant ou lors de l’émission des selles, ou encore du sang dans les urines ou les selles.

Le diagnostic de l’endométriose repose sur un examen clinique, une échographie pelvienne, une IRM pelvienne ou une cœlioscopie (examen chirurgical qui permet de visualiser directement les lésions d’endométriose.

Il existe quatre stades ou degrés de gravité de l’endométriose, selon la classification américaine de l’American Society for Reproductive Medicine (ASRM) : le stade I (minimal), le stade II (léger), le stade III (modéré) et le stade IV (sévère). Ces stades sont définis en fonction de la localisation, du nombre, de la taille et de la profondeur des lésions d’endométriose, ainsi que de la présence d’adhérences ou de kystes ovariens.

Les conséquences physiques, physiologiques et psychologiques de l’endométriose sont multiples et variables selon les femmes. L’endométriose peut entraîner une altération de la qualité de vie, une souffrance physique et morale, une fatigue chronique, une anxiété, une dépression, une baisse de l’estime de soi, une détérioration du couple ou de la vie sexuelle, une difficulté à concevoir un enfant ou à mener une grossesse à terme.

Le traitement de l’endométriose dépend du stade de la maladie, des symptômes ressentis, du désir ou non d’avoir un enfant et du choix de la patiente. Il peut être médical (hormonal ou anti-inflammatoire) ou chirurgical (ablation ou destruction des lésions d’endométriose).

Le traitement médical vise à soulager les douleurs et à freiner l’évolution de la maladie.

Le traitement chirurgical vise à enlever les lésions d’endométriose et à restaurer l’anatomie pelvienne.

Dans certains cas, les techniques de procréation médicalement assistée peuvent être proposées aux femmes qui souhaitent avoir un enfant.

L'endométriose peut avoir un impact significatif sur la fertilité et le désir d'enfant. Les adhérences, les lésions et les altérations anatomiques causées par l'endométriose peuvent rendre plus difficile la conception naturelle. Environ 30 à 50 % des femmes atteintes d'endométriose peuvent rencontrer des problèmes de fertilité.

Cependant, il est important de noter que toutes les femmes atteintes d'endométriose ne rencontrent pas nécessairement des difficultés pour concevoir. Certaines femmes parviennent à concevoir naturellement, tandis que d'autres peuvent avoir besoin de traitements de fertilité assistée pour augmenter leurs chances de grossesse.

Les options de traitement pour aider à concevoir lorsque l'endométriose est un facteur comprennent :

1. Chirurgie : Une intervention chirurgicale peut être recommandée pour enlever les lésions, les adhérences et restaurer l'anatomie normale. La chirurgie peut améliorer la fertilité chez certaines femmes, en particulier dans les stades moins avancés de l'endométriose.

2.     Fécondation in vitro (FIV) : La FIV est une technique de procréation médicalement assistée qui implique la stimulation ovarienne pour obtenir plusieurs ovules, qui sont ensuite fécondés en laboratoire. Les embryons résultants sont ensuite transférés dans l'utérus de la femme. La FIV peut être une option efficace pour les femmes atteintes d'endométriose sévère ou qui n'ont pas réussi à concevoir après une chirurgie.

3.     Insémination intra-utérine (IIU) : L'IIU est une procédure qui implique le placement de spermatozoïdes traités dans l'utérus de la femme au moment de l'ovulation. Cette technique peut être utilisée lorsque les trompes de Fallope ne sont pas bloquées et que la fertilité de la femme est modérément altérée.

4.     Médicaments de stimulation ovarienne : Dans certains cas, des médicaments de stimulation ovarienne, tels que le citrate de clomifène ou les gonadotrophines, peuvent être utilisés pour favoriser l'ovulation et augmenter les chances de grossesse.

Il est important de consulter un spécialiste de la fertilité ou un gynécologue spécialisé dans l'endométriose pour discuter des options de traitement adaptées à votre situation individuelle. Chaque cas est unique, et les recommandations de traitement peuvent varier en fonction de facteurs tels que la gravité de l'endométriose, l'âge, les antécédents médicaux et les souhaits personnels de fertilité.

L’endométriose peut avoir un impact sur la fertilité. Différents mécanismes peuvent expliquer un problème de fertilité dû à l’endométriose : une inflammation des organes, une modification de l’anatomie (adhérences), une diminution de la fonction des ovaires, une altération de la réceptivité de l’endomètre, un trouble de la fécondation ou de l’implantation.

Les aides et les traitements pour aider à avoir un enfant quand on souffre d’endométriose dépendent du stade de la maladie, des symptômes ressentis, du désir ou non d’avoir un enfant et du choix de la patiente.

Il existe plusieurs techniques d’assistance médicale à la procréation (AMP) qui peuvent être proposées : la stimulation de l’ovulation, l’insémination artificielle, la fécondation in vitro (FIV), le don d’ovocytes. La FIV et le don d’ovocytes sont les techniques les plus efficaces en cas d’endométriose sévère. Dans certains cas, il peut être nécessaire de recourir à l’adoption. Il est également possible de préserver sa fertilité en cas d’endométriose par la congélation des ovocytes ou des embryons.

L'endométriose peut avoir un impact significatif sur la sexualité individuelle et la sexualité de couple. Les douleurs pelviennes et les douleurs pendant les rapports sexuels sont des symptômes courants de l'endométriose, ce qui peut entraîner une diminution du désir sexuel, une dyspareunie (douleur pendant les rapports sexuels) et des difficultés dans la vie sexuelle.

Un sexologue ou un sexothérapeute peut être un professionnel utile pour aider les personnes souffrant d'endométriose à aborder les problèmes liés à la sexualité. Voici quelques façons dont ils peuvent apporter leur soutien :

1. Éducation et information : Un sexologue ou un sexothérapeute peut fournir des informations sur l'endométriose, ses effets sur la sexualité et des stratégies pour gérer les problèmes sexuels liés à l'endométriose. Cela peut aider à réduire l'anxiété et à renforcer la compréhension de la condition.

2. Communication de couple : Le sexologue peut aider les partenaires à améliorer leur communication et à exprimer leurs besoins, leurs préoccupations et leurs attentes liées à la sexualité. La communication ouverte et la compréhension mutuelle sont essentielles pour maintenir une vie sexuelle épanouissante malgré l'endométriose.

3. Techniques de gestion de la douleur : Un sexologue peut enseigner des techniques de gestion de la douleur, telles que des exercices de relaxation, des techniques de respiration, des positions sexuelles adaptées et des pratiques de mindfulness, pour réduire l'inconfort pendant les rapports sexuels.

4. Thérapie sexuelle : La sexothérapie peut être utilisée pour travailler sur les problèmes spécifiques liés à la sexualité et à l'endométriose, en identifiant les blocages, en abordant les préoccupations psychologiques et en proposant des exercices pour renforcer l'intimité et le plaisir sexuel.

5. Soutien émotionnel : Le sexologue peut offrir un soutien émotionnel pour aider les personnes à faire face aux défis émotionnels liés à l'endométriose et à la sexualité. Ils peuvent également fournir des ressources et des références à d'autres professionnels de la santé spécialisés si nécessaire.

Il est important de noter que chaque personne est unique, et les besoins en matière de soutien et d'exercices peuvent varier. Il est recommandé de consulter un médecin spécialisé dans les problèmes liés à l'endométriose pour une évaluation personnalisée, et un sexothérapeute sexologue à Lyon pour un accompagnement personnalisé.

Un sexologue ou sexothérapeute peut aider quand on souffre d’endométriose en proposant un accompagnement personnalisé (individuel et/ou conjugal) pour améliorer le bien-être et la qualité de vie dans différents domaines : personnel, sexuel, professionnel, social, conjugal…

Son rôle est aussi de lutter contre la désinformation et les fausses croyances, malheureusement très répandues dans le domaine de la sexualité.

Son travail consiste à écouter, analyser et comprendre les troubles que les patient (e)s peuvent manifester, et à adapter à chacun (e) une méthode thérapeutique pour les accompagner au mieux, sans jugement et avec une écoute bienveillante.

Les types de soutien, d’exercices et de sexothérapie quand on souffre d’endométriose dépendent des besoins et des attentes de chaque patient (e). Il peut s’agir de :

 - travailler sur l’estime de soi, la confiance en soi, l’image corporelle ;
 - apprendre à gérer le stress, l’anxiété, la dépression liés à la maladie ;
 - développer une communication positive avec son/sa partenaire ;
 - explorer ses fantasmes, ses envies, ses limites ;
 - diversifier les pratiques sexuelles (caresses, massages, jeux érotiques, sextoys…) ;
 - respecter la non douleur et adapter les positions sexuelles ;
 - utiliser des lubrifiants ou des crèmes anesthésiantes si besoin ;
 - pratiquer des exercices de relaxation, de respiration, de méditation ;
 - réaliser des exercices de rééducation périnéale pour relâcher les tensions musculaires ;
 - consulter un spécialiste en cas de besoin (gynécologue, kinésithérapeute, ostéopathe…)

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